LeG6 ressemble à un smartphone tout ce qu'il y a de plus standard, normal que d'autre téléphone y ressemble. Ça ressemble aussi à un s5, s6, s7, a3, a5, ect mais pas de boutons physiques.
AbdallahJ., journaliste reporter d'images (JRI) au bureau de Bar-le-Duc de France 3 Lorraine, s'est donné la mort la semaine dernière. Selon un communiqué de la CGT de France Télévisions, ce
Cest pourquoi, propose un petit état des lieux sur la vie sentimentale du leader de la Nupes pour ces législatives 2022. Jean-Luc Mélenchon met un point d’honneur à garder sa
Pendantdes décennies, les techniciens de France Télécom ont manipulé sans protection des composants radioactifs installés pour protéger le réseau téléphonique en cas de foudre, rapporte la revue Santé & Travaildans son numéro de janvier 2013. Une exposition non contrôlée qui serait responsable d'un taux anormalement élevé de cancers, avancent
Cenouveau choix illustre, si besoin en était, la propension des grands noms du Cloud à éviter la France. A ce jour, seul Salesforce a annoncé son intention d’ouvrir un datacenter dans l
Ily a quelques mois, nous avions imaginé à quoi auraient ressemblé les publicités pour l'iPhone 11 en ou 2000. Nouvel exercice de style aujourd'hui, à l'occasion de la sortie de macOS 11, surnommé « Big Sur ». Nous avons imaginé pour vous à quoi auraient ressemblé les boîtes du nouveau système d'exploitation si celui-ci était sorti
Outilde communication, le portable devient pourtant un sujet de tensions dans les familles. Quelques règles et du bon sens peuvent favoriser un retour au calme. Le téléphone est devenu un
Cefichier xml est récupéré sur un site web parce qu'il est mis à jour tous les jours. Le problème est que ça fonctionne avec Mais je n'ai pas de /usr/local qui ressemble étrangement à un chemin local d'une machine unix ou linux. Je n'ai que deux répertoires sur mon site web : /forum et /phpMyAdmin, Bref ! je trouve pas mon php.ini 0 0. 13/08/2009,
LeWiFi 6E (Extended) offre : une meilleure performance, une plus faible latence, des débits plus rapides. La 3ème bande 6 GHz est utilisée uniquement par les nouveaux équipements compatibles WiFi 6E : ces produits dernières génération ne sont pas « ralentis » par les anciens produit (non 6E) et trafiquent donc en WiFi 6E sur le 6Ghz
NotreTechnicien dans un premier temps peut deboucher manuellement sans outils spécifique le passage télécom (fourreau télécom , regard FT ) à Poitiers et partout
I0XYfz. Depuis son lancement, Free Mobile a été accusé de nombreux maux, parmi lesquels la destruction d’emploi chez ses concurrents et même dans tous les secteurs des télécoms, de la distribution, des centres d’appels, des équipementiers, etc.… Des études contradictoires ont été réalisées sur la sujet, montrant que Free Mobile créera de l’emploi, ou, on contraire, qu’il en détruira. Mais dans un contexte de crise économique, il aurait été intéressant de savoir dans quel état se trouverait le petit monde des télécoms français si Free Mobile n’avait pas existé. Y aurait-il eu moins de plans sociaux ? Les opérateurs auraient’ils perdu moins d’abonnés ? Leur chiffre d’affaires aurait-il augmenté ? Par ce que même sans nouvel opérateur mobile, de nombreux opérateurs ont vu leur chiffre d’affaire baisser en Europe. Selon des données publiées par la FFT, les opérateurs télécoms européen ont perdu 28% de leur valeur entre 2006 et 2012. Une baisse que, pour le coup, on ne peut attribuer à Free Mobile. L’exemple de l’Espagne est en ce sens symptomatique. Certes, le pays a une situation économique encore moins enviable que la notre, avec près d’une personne sur 4 au chômage, et des salaires qui ont été rabotés ces dernières années, mais le secteur des télécoms ressemble un peu à celui de la France, avec 3 opérateurs principaux qui disposent d’un réseau ainsi que des MVNO. Un autre opérateur plus petit a également été lancé en 2006. Mais si l’Espagne n’a pas lancé de nouvel opérateur qui a cassé les prix cette année, la situation est bien pire qu’en France. Ainsi, selon les données mensuelles publiées par l’Autorité de régulation CMT et reprises par pour le seul mois d’octobre, l’opérateur Movistar, filiale de Telefonica, a enregistré fermetures de ligne. Vodafone, numéro deux du secteur de la téléphonie mobile en Espagne, a perdu lignes et Orange Les opérateurs mobiles virtuels gagnent, eux, des abonnés, mais cela ne compense pas les pertes chez les opérateurs de réseau. Au total, lignes ont été interrompues et le nombre de lignes de téléphonie mobile en service en Espagne a chuté de 3,8% sur un an. "Le secteur de la téléphonie mobile en Espagne ne se redresse pas. C’est le neuvième mois consécutif de recul", note la commission du marché des télécommunications. Les opérateurs ont pourtant tenté d’érayer l’hémorragie, en arrentant par exemple, pour Téléphonica et Vodafone, de stopper la subvention des mobile, mais cela n’a pas suffit pour stopper les pertes d’abonnés. En France, c’est tout l’inverse qui s’est produit depuis l’arrivée de Free Mobile. En effet, selon l’ACEP, il y a eu une augmentation de 7,4% du parc d’abonnés mobiles au 3ème trimestre 2012, soit l’augmentation la plus importante depuis 10 ans. La France comptait ainsi au 30 septembre 2012, 72 millions d’abonnés mobiles, soit un taux de pénétration de 100,3%. Alors bien sûr, la situation de l’Espagne ne peut être exactement transposable à la France, le contexte, notamment économique, étant différent. Mais cela montre une tendance, à savoir que quand les consommateurs se retrouvent au chômage, ou que leur pouvoir d’achat diminue, ils n’hésitent pas à sacrifier leur abonnement mobile. En France aussi, le chômage augmente, mais les français ont pourtant davantage souscrit à des abonnements mobiles, du fait de la forte baisse des tarifs. On ne pourra jamais connaitre la situation du monde des télécoms français sans l’arrivée de Free mobile et la baisse des prix que cela à engendré. Mais au regard de ce qui se passe autour de nous, on peut se demander si les opérateurs historiques n’auraient pas vu leurs nombre d’abonnés diminué, alors qu’il s’est plus ou moins stabilisé, sur un an, du fait de la forte augmentation du nombre d’abonnements. Arnaud Montebourg devrait en tous cas étudier sérieusement la question, plutôt que d’assener les raccourcis simplistes que lui soufflent les opérateurs historiques. Cet article a été repris sur le site Univers FreeBox
Le téléphone est devenu un membre de la famille, partageant nos repas, s’invitant partout jusque dans la chambre à coucher. C’est un proche parfois envahissant, tyrannique. Une sorte de doudou qui prend de la place malgré sa petite taille, qui nous empêche de trouver le sommeil et qui, paradoxalement, au lieu de nous relier, nous coupe, parfois, des autres. Le smartphone est devenu omniprésent, à tel point qu’il faut édicter un règlement à la maison, pour le remettre à sa juste place un outil pratique. Il sert à téléphoner, mais aussi à prendre des photos, indiquer la météo, à nous réveiller le matin… mais tellement plus aussi. Bouygues Telecom publie ainsi son second observatoire des pratiques numériques des Français, analysant le rôle du portable dans les relations parents-enfants et la notion de parentalité numérique. Les psychanalystes viennent aussi au secours des familles dépassées par le phénomène des jeux vidéo, des défis, des applis de partage de photos, et parfois déboussolées par le pouvoir de notre terminal omnipotent. Au point que l’on en oublie le formidable outil de communication qu’il est, entre les membres de la famille, pour commencer. À condition de poser des règles. Et de les respecter. Donner l’exemple à ses enfants Si des mesures de décontamination numérique ont été prises à l’école comme en entreprise, c’est que tout le monde a besoin d’un cadre. La rentrée scolaire 2018 a été marquée par l’interdiction du téléphone portable au collège. Une mesure approuvée par 87 % des parents selon l’Observatoire Bouygues Telecom. Pour les adultes, c’est le droit à la déconnexion dans le cadre de la loi Travail 2017 qui redéfinit l’utilisation des outils numériques dans la relation manager et collaborateur. À la maison, il reste à établir un cadre et à donner l’exemple, pour rester crédible. Comment dire sérieusement à un ado de 14 ans, qu’il doit désactiver les données mobiles de son iPhone après 22 heures s’il nous voit pendus à la messagerie instantanée dès le réveil ? Selon Philippe Duverger1, pédopsychiatre la tyrannie du téléphone portable à la maison est un motif de consultation fréquent. J’ai vu des parents venir se plaindre de l’addiction de leur ado au portable mais qui se lèvent en plein entretien pour répondre à un appel. Il faut être logique et donner au minimum l’exemple ». La vérité sort de la bouche des enfants, d’ailleurs mon père, depuis qu’il a découvert le jeu Rise Up, il a la tête ailleurs ». Notre rapport au portable confine souvent au TOC, on le tripote pour être sûre qu’il est bien là, on consulte notre boîte mails toutes les cinq minutes. Vies perso et pro sont souvent mêlées, d’où cette fébrilité, pour ne pas dire anxiété. Mais on peut, pour décrocher, adopter ces règles simples ne pas consulter son mobile à table, retirer les notifications, cesser de rafraîchir les pages des réseaux sociaux, baisser les sonneries, laisser son mobile au salon et surtout l’éteindre le soir. On y gagne le plaisir d’être dans le présent et avec ceux qui nous entourent. Le reste peut bien attendre. Leur proposer une alternative intéressante L’ado a le nez sur l’écran, il est collé aux séries en streaming, se prend pour le maître du monde sur Fortnite, doit récupérer 250 flammes avec son amoureuse sur Snapchat… Entre 11 et 14 ans, 68 % des filles et 60 % des garçons sont connectés à des réseaux sociaux, et entre 15 et 18 ans, on passe à 92 % des filles et 90 % des garçons2. Mais à part leur dire tu dépasses les bornes », lâche les écrans », qu’est-ce que l’on propose à nos enfants ? À quoi ressemblent les échanges le soir à table sinon à des questions laconiques au sujet des notes, du dernier contrôle de maths ? Pour Philippe Duverger il vaut mieux faire des écrans et des jeux vidéo, des alliés, des supports de discussion entre parents et enfants. C’est l’occasion de parler avec eux de sujets qui les intéresse vraiment et cela peut rebondir sur des sujets de société, de philo… ». Les vidéos de sauvetage d’animaux maltraités qu’ils se passent en boucle ont le mérite de poser la question de la condition animale, d’en rappeler le statut juridique. Une conversation de fond à avoir avec eux, histoire de renouer le dialogue. Sortir ensemble de temps en temps du virtuel, c’est quand même souhaitable, à condition d’avoir quelque chose de sympa à proposer. Il ne s’agit pas d’aller trimballer ses enfants visiter des basiliques du xive siècle, mais de chercher ce qui peut leur plaire. Et lorsque l’on n’est pas avec ses enfants, s’ils sont en voyage de leur côté ou simplement en sortie, profitons des fonctionnalités intéressantes de l’outil numérique, des applications pour tisser une complicité sur les messageries instantanées. Créer un groupe famille sur WhatsApp, pour se donner des nouvelles, partager des photos, passer des appels vidéo. Selon l’étude Bouygues Telecom, 55 % des parents interrogés utilisent WhatsApp ou Messenger au sein de la famille et 65 % des enfants aiment partager des contenus avec leurs parents. C’est dire si ce type de messagerie fait l’unanimité. Négocier plutôt qu’interdire Grande est la tentation de couper le Wi-Fi le soir, d’installer des applis telles que Flipd ou SelfControl — qui verrouille l’accès au téléphone durant un temps donné — ou de carrément confisquer le smartphone. Cela ressemble au c’est comme ça et pas autrement » de l’éducation à l’ancienne, le parent ordonnait, l’enfant obéissait sans forcément comprendre. Le numérique est réellement un enjeu d’autorité » explique Michaël Stora, psychologue, psychanalyste3. Autrefois, c’était la télé. Supprimer les écrans ? À moins de vivre comme un ermite, difficile de s’en passer en 2018. C’est en plus un outil favorisant l’autonomie. Le portable est un espace de construction identitaire important pour les ados qui ont besoin d’exister en dehors de leurs parents » reprend-il. Le lui confisquer, c’est le couper de son petit monde, lui retirer de l’autonomie quand on ne cesse de l’encourager à prendre des initiatives. Sans oublier que le portable, la tablette sont de formidables relais avec la vie du collège, du lycée les logiciels et applis tels qu’École Directe, Kartable, Nomad Education et autres, sont indispensables et d’une aide souvent appréciable. Mieux vaut toujours négocier, impliquer l’ado dans les décisions qui le concernent plutôt que de les lui imposer, ou lui présenter sèchement l’addition Pas de Wi-Fi après 22 heures ». L’impliquer en sollicitant son avis, c’est ça aussi, l’amener vers l’autonomie. Pour 70 % des enfants interrogés Bouygues Telecom poser ces règles à la maison est une bonne chose pas de téléphone à table, ni dans la chambre la nuit pour préserver le sommeil, pas de coup de fil après une certaine heure. Beaucoup plus raisonnables qu’on ne le pense… Profiter de leur savoir numérique On galère avec l’iPhone et c’est l’ado qui vole à notre secours Mum’, si ta batterie se vide à toute vitesse, c’est qu’il faut nettoyer ton historique d’applications ». Obligée de constater que le prof, c’est lui, pas nous. On est parfois dépassée et là on prend un petit coup de vieux. Cette inversion des rôles ne remet pourtant pas en question l’autorité parentale » nuance Philippe Duverger. Même si la transmission de ce type de savoir, concernant la technologie, se fait de l’enfant à l’adulte, le parent, le guide, c’est toujours nous. On s’inquiète des dangers de la fascination pour la toile, mais nos enfants sont plus solides, plus avertis qu’on ne le croit. Au sujet de l’addiction au web, Michaël Stora distingue trois profils de jeunes patients accros il y a d’abord ceux en pleine crise d’ado passagère. L’enfant joue un peu trop en ligne au goût des parents mais il ne s’est pas pour autant coupé de ses centres d’intérêt habituels ni en voie de déscolarisation ce qui caractérise la cyberdépendance ; dans 70 % des cas, c’est ainsi que cela se passe et il n’y a pas lieu de s’inquiéter ». Ensuite, il y a les 7-12 ans, plus vulnérables pour lesquels on peut activer un logiciel de contrôle parental » qui permet de restreindre l’accès à un média et éviter de les confronter à des contenus inadaptés à leur âge. On doit, surtout, les informer des risques de harcèlement, d’incitations aux défis ou aux risques de mauvaise rencontre via internet. Dernière catégorie, les ados qui, souvent, en savent plus que nous. Quels dangers, mum’ ? Tu veux parler des défis ? » Et de les énumérer l’un après l’autre… Eux connaissent très bien les garde-fous tels que Le Roi des rats, ce youtubeur qui dénonce et critique les contenus tendancieux ou dangereux destinés aux ados. En revanche, et là c’est notre rôle de parent, on ne leur répétera jamais assez les précautions d’usage préserver les données privées, vérifier ses paramètres de confidentialité, sécuriser ses mots de passe. L’ado les connaît mais l’adulte fort de longues années d’expérience de la vie et, surtout d’erreurs, c’est nous… 1 Qui commande ici ? Coécrit avec Marcel Rufo éditions Anne Carrière. 2 Étude Génération numérique, 2017. 3 fondateur-président de l’Observatoire des mondes numériques en sciences humaines et coauteur de Hyperconnexion Larousse. A lire également 5 astuces pour ne plus dépendre de son smartphone Dépendance au smartphone et dépression les adolescents en première ligne Comment redonner le goût de la lecture à ses enfants ?
il y a 3 moisD'anciens dirigeants de l'opérateur ont osé faire appel du jugement prononcé en 2019. Pour les victimes, toujours en grande souffrance, qui attendent que la condamnation pour harcèlement moral institutionnel soit confirmée, ce second procès qui s'ouvre vient raviver les plaies. Une nouvelle épreuve, plus de dix ans après la vague de suicides qui a déferlé sur l'entreprise. TémoignagesUne nouvelle épreuve. Deux ans et demi après un jugement historique, les victimes de la crise sociale massive chez France Télécom voient s'ouvrir, le 11 mai, le procès en appel de l'ex-PDG Didier Lombard, de son ancien bras droit Louis-Pierre Wenès l'ex-DRH Olivier Barberot s'est désisté – NDLR, ainsi que de quatre autres responsables, Brigitte Dumont, Jacques Moulin, Guy-Patrick Cherouvrier et Nathalie condamnation, le 20 décembre 2019, pour des faits de harcèlement moral institutionnel entre 2007 et 2008, à des peines d'un an de prison dont huit mois avec sursis et 15 000 euros d'amende, reste inédite pour des patrons du CAC 40 les quatre cadres ayant écopé de quatre mois avec sursis et 5 000 euros d'amende pour complicité – NDLR. Comme le souligne maître Jean-Paul Teissonnière, avocat de nombreuses parties civiles Nous allons être attentifs aux arguments avancés par la partie adverse pour justifier cet appel. Le jugement en première instance est d'une sévérité incroyable, à la hauteur de la brutalité de ce qui s'est passé une incroyable opération de déstabilisation du personnel et un interdit majeur de ce qui structure une société. » Certains sont devenus fous »Pour les salariés, replonger dans ce passé douloureux ravive les plaies. Celles de la violence du plan NExT et de son volet social ACT », qui visait à supprimer 22 000 postes en trois ans parmi les 120 000 employés, dont une majorité de fonctionnaires. Des départs sans plan social, à base de pressions et de mobilités forcées, réalisés par la fenêtre ou par la porte », selon les propres mots de Didier Lombard. Francis Le Bras, 69 ans, lui en veut beaucoup de devoir subir un second procès. Ils nous obligent à remettre le nez dans la merde, déplore-t-il. Je suis reparti dans l'alcoolisme. Ça m'a coûté quinze années de ma vie. Thierry Breton PDG de France Télécom avant Didier Lombard – NDLR aurait aussi mérité d'être M'A COÛTÉ QUINZE ANNÉES DE MA VIE.…Cécile RousseauLire tout l'article
a quoi ressemble un regard france télécom